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Divorce, la machine à broyer des hommes.
A travers l’expérience d’Antoine Monnier directeur de l’Agence CQMI, marié avec une Ukrainienne, et celle d’Hervé Jouhet marié quant à lui à une Russe, nous allons tenter au moyen d’une chronique particulière sous la plume du second de vous présenter quelques standards et quelques conseils à l’usage d’hommes francophones qui rêveraient, espéreraient et décideraient de créer une relation maritale avec une femme russe ou ukrainienne. L’un comme l’autre ont écumé le monde slave, tant l’Ukraine, que la Russie, mais aussi d’autres pays périphériques. L’un comme l’autre sont passés par une étape de recherche amoureuse similaire, faite de rêves qui se sont réalisés… mais pas tout seuls ! L’un et l’autre sont parfaitement russophones, ont étudié en Russie la langue de Pouchkine, le premier a longuement résidé dans le pays et dans la ville mythique de Saint-Pétersbourg, en passant par la Sibérie, le second est moscovite, cœur palpitant de la Russie, après avoir connu l’Oural et le Sud du pays.
En quelques décennies, les sociétés occidentales ont été transformées par des révolutions sociétales profondes et traumatisantes, il reste difficile aujourd’hui de prédire les conséquences réelles, positives ou négatives de ces changements. Alors qu’en France le schéma des enfants du Baby-Boom était encore patriarcal, les mères de ces enfants n’avaient obtenu le droit de vote qu’après une très longue lutte d’arrière-garde, qui fut l’œuvre du gouvernement de Charles de Gaulle à Alger (21 avril 1944). Dans d’autres pays francophones, ce droit de vote avait été octroyé dès 1918 au Canada, en 1919 au Luxembourg, le plus mauvais élève fut la Suisse, le canton de Vaud l’accordant dès 1959, la confédération seulement en 1971. Dans la foulée, le monde connu la déferlante de la Révolution sexuelle apparue à la fin des années 60, puis battant son plein dans les années 70. Elle entraîna un renversement des mentalités, avec des luttes autour de la contraception (années 50-70), pour l’avortement (1975 en France), pour la fin de la censure de la télévision, du cinéma ou de la littérature (du moins en ce qui concerne le sexe, fin des années 90). Il y eut l’apparition de femmes symboles à la fois icône des combats politiques, mais aussi de femmes fatales, de sexes-symboles proliférant dès lors dans le show-business. La poitrine des femmes sortant des corsages sur les écrans de la télévision, elle apparue aussi sur les plages, puis ce fut au tour des sexes, entraînant dans ce sillage le nudisme, les magazines masculins omniprésents, l’érotisme, la banalisation de la pornographie (Canal +, puis jusqu’à son accès libre avec Internet).
Du féminisme de progrès au sexisme.
Que l’on soit pour ou contre (et là n’est pas notre propos), les conséquences se couplèrent également à des changements économiques majeures, la fin de vieux modèles, l’installation de la femme dans la vie professionnelle, de manière inégale mais bientôt généralisée. Avec la transformation du pays encore massivement rural, la France muta rapidement vers une société citadine, des loisirs et des services, avec l’apparition aussi de biens de consommation révolutionnaires, comme la machine à laver (années 60), le sèche-linge, de nombreux appareils ménagers ou de cuisine. Progressivement l’égalité apparut dans nombre de logis, ce fut la fin de la mère au foyer, la lente érosion des valeurs de la famille. Le féminisme devînt rapidement une composante importante des sociétés occidentales, avec les premiers discours politiques, notamment de Simone Veil (années 70-90), et une orientation très nette vers un changement de société qui reste encore à définir. Le recul historique que nous avons étant trop faible, il serait difficile de faire un bilan précis et circonstancié. Mais rapidement, avec la génération des enfants nés de ceux du Baby-Boom, ce féminisme fut bientôt accompagné d’un autre de combat, aux discours plus durs et aux messages parfois inquiétants. Il ne s’agit pas d’un hasard si le groupe sexiste des FEMEN, chassé momentanément d’Ukraine s’installa dans une nouvelle base arrière… à Paris (2011-2012), où elles tiennent encore aujourd’hui pignon sur rue. Leur site officiel porta longtemps comme symbole, une image de femme dénudée, brandissant une faucille et d’une autre main ensanglantée, les parties génitales tranchées d’un homme. Au paroxysme de cette accélération, l’évolution des schémas de couples se transforma également rapidement, avec la fin du couple homme/femme sur la longue durée, la multiplication des partenaires dans la vie d’une personne, la chute des mariages classiques, la multiplication rapide des divorces.
La machine à divorce, des femmes à l’assaut des hommes.
Dans le même temps, la législation des relations entre les hommes et les femmes a évolué plus ou moins rapidement. Ceci n’est pas à l’origine de l’augmentation des divorces, mais nous sommes sortis d’une vision archaïque des époux, où la femme était assujettie à l’homme, pour entrer dans un schéma bancal d’égalité. En termes de mariages, l’érosion lente mais nette se poursuit en France, 516 882 mariages avaient été célébrés en 1946, 416 521 l’avaient été en 1972, pour environ 228 000 en 2017 (avec une population passée entre ces deux dates de 45 à 67 millions d’habitants)[1]. A l’heure actuelle, la durée d’un mariage en France est seulement de 5 ans (18,8 %), de 5 à 9 ans (27 %), de 10 à 14 ans (19,4 %), de 15 à 19 ans (14,2 %), de 20 à 24 ans (10,7 %), enfin de 25 à 29 ans (6,9 %). En parallèle, la France avait prononcé le divorce de 123 500 couples (2014), avec une tendance légère à la baisse et à une certaine stabilisation. Selon l’INSEE, potentiellement 44 % de ces mariages se termineraient par un divorce. La Belgique connaît une évolution similaire, avec 44 725 mariages célébrés (2015), pour 23 583 divorces prononcés en 2016[2], soit un taux de divorce se situant vers 42,6 %, 43,9 % des mariages célébrés (en 2015 et 2016). La situation du Québec est plus marquée encore, puisque l’Institut de la Statistique du Québec actait en 2008, un taux de divorce à 49,9 %, et indiquait comme en France des pics records les années précédentes, entre 50 et 53 %. De la même façon, les mariages au Québec étaient tombés d’environ 54 000 en 1971, à 21 273 en 2016. Selon une tendance généralisée, l’immense majorité des divorces demandés dans ces trois pays le sont par l’épouse. Historiquement le divorce a d’ailleurs été surtout une demande des femmes, qui fut également long à leur être accordé : en France en plusieurs étapes entre 1792 et 1884, mais le chemin aura été beaucoup plus long au Québec. Ils auront dû attendre 1968, pour un accès libre au divorce, avant cette date ceci était possible mais seulement dans le cas avéré de l’adultère des époux, ou de la pratique de l’inceste par l’homme. Cet accès au divorce des femmes a fait donc partie d’une émancipation généralisée de la femme, vers une indépendance d’opinions (politiques ou autres), de croyances religieuses, de travail et d’indépendance professionnelle et financière, de contrôle de son corps (de sa préservation, ou au contraire de son exploitation à diverses fins), de sa destinée, mais aussi de restrictions et contrôles des naissances, d’expérimentations sexuelles, philosophiques, ou simplement le choix de nouvelles aventures de vie. Nous redisons ici que nous ne jugeons pas cette évolution, mais constatons les faits, aujourd’hui pour les raisons évoquées, la femme est donc dans une position de force inédite : elle peut et veut partir, et elle se trouve dans une position de force, qui se consolide au fil du temps.
L’indécent business juridique des avocats spécialistes du divorce.
Ici ce place un problème peu ou pas traité du divorce et des problématiques entre hommes et femmes. Dans environ 7 cas sur 10, la décision du départ est féminine. Les premières choses qu’elles entreprendront seront d’abord des discussions avec leurs meilleures amies, souvent de mauvais conseils. Un vrai phénomène d’encouragements mutuels des femmes existe, une solidarité où regroupées dans les secrets des confessions, « une équipe » redoutable pourra se former, avec son lot de « coaching », de piqûres de rappel, d’aides concrètes. Une fois cette alliance féminine formée, l’autre étape sera naturellement la consultation d’une avocate. C’est la plupart du temps… par la recommandation d’une « collègue » divorcée que le lien se fait. Après une consultation, les conseils donnés seront souvent les mêmes. Hommes ou femmes, ces avocats auront un intérêt majeur à vous amener à poursuivre la démarche et à embraser la situation. Pour se faire, la meilleure solution est tout d’abord de chercher dans l’homme des traits de caractère à exagérer : l’homme têtu deviendra violent, le papa sévère sera transformé en père indigne, quelques éclats de voix dans une dispute montés en épingles et tout ce qui pourra être classé dans la catégorie violence, avec les plus grandes exagérations possibles (nous ne parlons pas ici des véritables bien sûr), sera mis en avant. Si vous étiez une femme et que vous vous rendiez chez un avocat spécialiste du divorce, pour vous plaindre de votre mari, vous entendriez certainement les conseils suivants : 1- trouver un logement futur, ou s’assurer d’éjecter de son logement le mari, 2- en cas de propriétés immobilières, trouver un notaire et des agences en vue d’un début de prospection pour vente, 3- si vous avez la main sur des comptes bancaires ou d’épargne avec signatures communes, vider l’ensemble des comptes, replacer cet argent sur de nouveaux comptes à son nom et attendre le début du divorce, 4- le jour du départ vous faire accompagner d’un membre de votre famille, des amis, de votre belle-famille (pour accentuer l’aspect persécution, danger, violences probables), 5- mettre la main à l’exemple des comptes bancaires sur toutes les assurances, essayer d’en changer les termes (soit pour ne plus les payer, soit pour en garder l’usufruit) 6- changer en douce la domiciliation fiscale du couple (si départ vers un autre logement), 7- trouver une nouvelle école pour vos enfants, 8- vous emparer en douce de papiers essentiels, livret de famille, idéalement d’un maximum de vos propres documents et encore plus idéalement des documents ou copies de documents de votre mari (fiches de salaires, etc.), 9- vous créer par avance d’autres espaces internet, réseaux sociaux et adresse électronique, 10- prévenir votre famille, vos amis et si le terrain est propice la belle-famille (pour tenter d’isoler le mari), 11- obtenir d’eux des témoignages, même faux du caractère violent, diabolique, caractériel, ou manipulateur de votre mari (d’autant plus facile que ces faux témoignages ne seront jamais réprimés), 12- le jour J tomber le masque, en ayant des atouts considérables dans son jeu. Écoutons Hervé qui fut dans le cas du mari face à la déferlante :
« Je me suis trouvé dans le cas d’avoir en face de moi une femme qui était déçue de moi, je ne correspondais pas à ce qu’elle avait imaginé du rêve de jeune fille, trop différent, trop loin finalement de ses attentes, et comme tout le monde j’avais fait des erreurs, j’avais des défauts. Mais elle n’a pas exprimé ce désir de partir, tout a été préparé en cachette. Je n’aurais jamais imaginé vivre une telle violence avec cette femme, mais quand je parle de violence, ce sont celles qu’elle m’a réservé à partir de ce jour où notre séparation a commencé. Moralement affaiblit et estomaqué, je me suis trouvé « en faiblesse » pendant environ deux mois avant de me réveiller, ce qui s’est passé c’est à peu près comme si j’avais été écrasé par un tank et que l’on avait voulu m’achever à coups de pelle, c’est vraiment comme cela que je l’ai vécu. Je n’ai rien saisi de ce qui m’arrivait et lorsque l’on n’a rien vu venir, que vous n’avez rien préparé, vous avez un retard d’une telle importance, il est impossible à rattraper. Je suis tombé dans tous les pièges, du moins au début, j’ai accepté un divorce à l’amiable, ce n’était pas une erreur, mais avec la même avocate, celle que mon épouse avait consulté à plusieurs reprises jusqu’à ce début de divorce, et je quittais le domicile conjugal avec une main courante à la Gendarmerie (sous les pressions et menaces de mon épouse). Nous sommes allés ensemble trois mois plus tard à sa rencontre pour établir une convention. Jamais je n’ai subi une telle humiliation de ma vie ! Elle devait être aussi mon avocate, mais elle me fit pendant une heure trente subir un assaut en règle sur mes mauvais comportements, me fit transpirer, me mit mal à l’aise, m’intima l’ordre de signer un papier où j’acceptais dans les deux ans, de verser une pension alimentaire correspondant à un montant de 50 % de mon salaire. Sans doute j’avais un bon ange gardien, car je gardais un calme olympien, je refusais de signer et je partais sous les quolibets de ladite avocate. Dans la foulée je me trouvais une avocate, mais nous avions perdu nos 500 premiers euros avec la précédente pour la rédaction d’une convention commune de divorce qui alimenta le feu de cheminée. Puis je déposais une demande d’aide juridique, mon épouse refusait de déposer finalement une demande de divorce et un an plus tard je m’en chargeais… j’entamais ensuite un parcours du combattant de trois ans, tentant de faire comprendre que nous devions enterrer la hache de guerre, sans succès. Le divorce enfin prononcé, j’essuyais de sa part la continuation d’une guerre de tranchées, avec de son fait plainte sans fondement à la Gendarmerie, puis un nouveau procès d’un an et demi (pour supprimer mes droits de visite des enfants). Cependant, que l’on parle du divorce, de la plainte, du nouveau procès, la justice fut modérée, ne me pénalisa pas, fut dans l’intérêt des enfants. La partie adverse a vécu ceci comme une succession de défaites, d’échecs, 10 ans plus tard, les cabales se poursuivent, hélas. Dans mon histoire très résumée, ce que je voudrais dire c’est que tous les avocats ne sont pas comme la folle furieuse à qui j’ai eu affaire au départ, mais il existe beaucoup de combattantes sexistes parmi elles. Cette avocate pourtant assermentée me fit des reproches vraiment terribles, des procès d’intention, et son discours m’a beaucoup marqué, elle me lança un menaçant « des hommes comme vous dans mon cabinet j’en vois défiler des tonnes, je vous connais ! », alors que je ne l’avais eu en face de moi que deux heures. Beaucoup de choses dans le divorce sont faites pour vous pénaliser, dans mon cas il n’est pas vrai que les lois qui avaient été reformées ont accéléré la procédure. Il faut aussi savoir que la partie adverse peut verser des pièces au dossier, que ces dernières déclenchent un temps de latence de quelques mois, pour vous donner le temps de répondre, déclenchant un autre temps d’attente… cela peut durer longtemps et en boucle. Les hommes qui seront dans une histoire similaire, dans un divorce difficile doivent se dire qu’il y a une vie après, et que si comme dans mon cas vous ressentez de l’injustice, une énorme injustice, le temps vous récompensera, à condition de rester droit dans vos bottes et de ne jamais répondre sur le même ton que votre ex-femme, même hystérique. Parfois des gens qui n’ont pas réfléchi me disent mais qu’est-ce que tu as bien pu lui faire ? Comme si j’avais vraiment été le méchant de l’histoire, je ne savais pas trop quoi leur répondre, aujourd’hui je sais, que la femme qui part, qui divorce et qui entre en guerre, n’a sans doute pas d’autre choix, son rêve de prince charmant à terre, comme beaucoup de gens elle vous rendra responsable de son échec, ces gens refusent d’endosser la moindre responsabilité dans l’arrivée d’un divorce, pire encore il le perçoive non comme un événement de vie, mais comme une guerre à mener, un échec et dans cette mentalité… il faut des coupables, vous… le mari ! C’est là, la clef des divorces conflictuels, le plus terrible c’est de n’avoir pas voulu le divorce, n’avoir pas voulu le conflit, mais finalement le vivre forcé et contraint. Là je pense que la loi française est mal pensée, c’est un énorme lobbying, tout cela devrait être hyper simplifié, surtout comme dans mon cas où nous étions d’accord sur l’essentiel, les enfants, et qu’il n’y avait pas d’argent. Dans ce cas précis la partie adverse a utilisé la justice française pour une guerre sans merci de quatre années, renouvelée dans un autre procès d’un an et demi plus tard. Nous aurons vécu ensemble 12 ans, puis il y aura eu presque six ans de procédures judiciaires inutiles. Est-ce normal d’être victimes d’un tel système ou de la malveillance d’une femme déçue (ou d’un homme) ? ».
Ces hommes divorcés dans un désert sidéral.
Lorsque vous vous trouvez en tant qu’homme dans une telle histoire, ce qui remonte à la surface c’est finalement une bouffée d’air, de vie, de renouveau. Mais c’est au futur divorcé de se prendre par la main. Il y aura une vie après le divorce pour tous les hommes, mais souvent la solitude devient très pesante, on ne voit pas la fin du tunnel. Il faut dire que lorsque l’on se trouve derrière une longue vie commune avec une femme, se retrouver seul est un vrai défi. Souvent c’est aussi la destruction intégrale de tout ce que vous avez construit avec votre épouse : liquidation des biens immobiliers, dispersion de vos affaires, beaucoup d’hommes ne prêtent pas attention à ces choses matérielles et se font dépouiller de l’essentiel : vaisselles, appareils ménagers, objets indispensables, linges de maison, vous ne pouvez imaginer l’inconfort que vivent des milliers d’hommes dépossédés et qui tôt ou tard devront se racheter tout cela. C’est pour beaucoup un retour à la vie d’étudiant, dans une certaine misère parce qu’il faudra compter aussi sur les enfants, les recevoir dignement, leur apporter un minimum dans les temps où ils se trouveront avec vous. D’autres pourraient se rendre compte de l’énorme garde-robe à mettre en cartons pour votre femme, et voir qu’ils n’ont, eux, en tout et pour tout que de maigres affaires, se rendre compte que pendant de nombreuses années, ceci avait été suffisant… pour tondre la pelouse, mais se découvrir démunis et à devoir se rhabiller de la tête aux pieds. Même avec la présence de vos parents, de vos amis, les encouragements et leur amour, ceci sera une période très dure, où vous pourriez broyer du noir les dimanches en fin d’après-midi, puis vous demander ensuite, et maintenant ?
Lorsque vous poserez cette question, elle concernera bien sûr votre future nouvelle compagne. D’aucuns rares resteront tranquilles dans l’attente… du destin. Mais les statistiques sont là pour nous soutenir… un homme en moyenne mettra seulement neuf mois à retrouver une compagne, contre 5 ans pour une femme divorcée. Les plus audacieux penseront vite à refaire leur vie. Ce sera alors la découverte sans doute qu’autour de vous, il ne reste plus guère de femmes dans des pays où, comme en France, il y plus d’hommes que de femmes (le sex-ratio), soit un nombre de 105 garçons qui naissent pour 100 filles. Cette tendance se poursuit jusqu’à 50 ans, plus d’hommes que de femmes (en 2015), puis s’inverse à partir de 50 ans (mortalité masculine plus forte)[5]. Dès lors, vos amies mariées, ces dernières occupées, vous-mêmes n’étant plus dans une vie étudiante avec son lot de rencontres palpitantes… restera très souvent le milieu associatif, les loisirs et la roulette russe des sites francophones de rencontre. Après bien des parcours tortueux, de nombreux hommes finissent par se tourner vers les pays du Sud, et regardent vers l’Afrique où se trouvent des milliers de femmes, mais aussi bien sûr vers l’Est, en Russie ou en Ukraine. L’Agence CQMI pourrait bien, par son expérience, et bien sûr celles d’hommes divorcés qui sont passés par nos services, vous faire découvrir que tout ce calvaire, toutes ses énergies négatives pourraient n’avoir pas été vécus en vain. Et si votre compagne, comme dans le cas d’Hervé, comme Antoine Monnier, se trouvait en Europe de l’Est ? Et si le plus sincère, le plus pur des amours était justement à votre portée ? Il faudra alors vous demander s’il ne serait pas judicieux de provoquer cette chance, de pousser les événements, pour redevenir l’acteur et le décideur de votre vie, renaître et vous épanouir avec une vraie et authentique femme… qui elle vous rendra simplement heureux !
Hervé et l’Agence CQMI
[1] https://www.planetoscope.com/lamour/699-nombre-de-mariages-en-france.html , selon un article prenant ses sources à l’INSEE.
[2] http://www.lalibre.be/actu/belgique/voici-le-nombre-de-mariages-et-divorces-par-communes-en-belgique-5a32911bcd700ea8c6f461b7 , selon un article de La Libre.be du 14 décembre 2017.
[5] https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/europe-pays-developpes/population-naissances-deces/ , article de l’INED, l’Institut National d’études démographiques publié en 2017. Vous veillerez à surfer sur les différents articles par pays et par thèmes, divorces, mariages, naissances etc.
Antoine Monnier
A étudié à CQPNL Centre québécois de PNL
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