A travers l’expérience d’Antoine Monnier directeur de l’Agence CQMI, marié avec une Ukrainienne, et celle d’Hervé Jouhet marié quant à lui à une Russe, nous allons tenter au moyen d’une chronique particulière sous la plume du second de vous présenter quelques standards et quelques conseils à l’usage d’hommes francophones qui rêveraient, espéreraient et décideraient de créer une relation maritale avec une femme russe ou ukrainienne. L’un comme l’autre ont écumé le monde slave, tant l’Ukraine, que la Russie, mais aussi d’autres pays périphériques. L’un comme l’autre sont passés par une étape de recherche amoureuse similaire, faite de rêves qui se sont réalisés… mais pas tout seuls ! L’un et l’autre sont parfaitement russophones, ont étudié en Russie la langue de Pouchkine, le premier a longuement résidé dans le pays et dans la ville mythique de Saint-Pétersbourg, en passant par la Sibérie, le second est moscovite, cœur palpitant de la Russie, après avoir connu l’Oural et le Sud du pays.
Si vous envisagez de rencontrer une femme russe ou ukrainienne une des choses que vous devriez entreprendre sera assurément l’apprentissage de la langue ukrainienne et/ou russe. Si la langue ukrainienne n’est pas une langue d’influence et n’est parlée que par la diaspora ukrainienne dans le monde, notamment très nombreuse au Canada, la langue russe elle, est une langue d’influence importante et pour mettre les chances de votre côté, une intelligente stratégie sera donc d’apprendre d’abord la langue russe, puis en cas de la rencontre d’une ukrainienne de langue maternelle ukrainienne, vous pourrez alors changer facilement votre fusil d’épaule. L’apprentissage de la langue russe vous donnera un avantage certain dans la compréhension de votre future épouse, dans votre début de compréhension des Slaves, de leur culture, de leur histoire, de leur civilisation, des différences subtiles entre les peuples, russe, ukrainien, biélorusse, moldave etc. Quoi de plus important par rapport à votre projet de rencontre d’une femme slave, russe, de montrer aussi votre immense motivation, vos capacités, en abordant la langue russe bien avant les rencontres, bien avant même d’avoir pu vous focaliser sur une femme dans les rangs des adhérentes de l’Agence CQMI. Épouser une femme russe ou ukrainienne, cela sera aussi épouser une autre culture, une autre langue, si vous vous montrez timorés, non intéressés, ou pire encore indifférents ou fainéants, alors vos chances de succès avec une femme slave seront grandement minorées, pour ne pas dire que votre futur échec sera retentissant. Vous n’aurez bien sûr pas besoin de parler couramment la langue russe, mais vous pourriez simplement avoir des bases simples, la connaissance de mots, de phrases qui seront une surprise agréable pour les femmes que vous rencontrerez avec le CQMI. Alors par où commencer ?
Que vous soyez de France, de Belgique, ou du Québec, à fortiori de Suisse ou du Luxembourg, il y aura toujours autour de vous des professeurs de russe (voire d’ukrainien). Avec 1,2 millions de Canadiens d’origines ukrainiennes, des dizaines de milliers de Russes en France, vous vous rendrez vite compte en cherchant sur internet qu’il existe des possibilités intéressantes. Dans beaucoup de villes françaises, vous découvrirez peut-être des associations, un café-polyglotte, des cours privés. Les associations culturelles russes ou ukrainiennes seront sans doute enchantées de vous aider à vous diriger vers un ou une professeur de russe (d’ukrainien). Les régions les plus propices pour cet apprentissage sont bien sûr Paris et sa banlieue, mais aussi des villes comme Marseille, Nice, Strasbourg, Genève et Lausanne, Bruxelles, toutes les grandes villes de France ou du Québec. Certaines villes sont mêmes jumelées avec d’autres d’Ukraine ou de Russie. Chaque fois, ce jumelage suppose des contacts parfois anciens, une association, des personnes moteurs qui font vivre la russophonie en France. Vous trouverez la liste des 35 villes françaises jumelées avec la Russie ici, avec parmi elles des villes plus inattendues, comme La Rochelle, le Havre, Le Mans, Cannes, Toulon, Dijon, Besançon ou Valenciennes. L’amitié franco-russe, au-delà de la politique internationale très éloignée de l’intérêt des peuples français et russe, ne doit pas faire oublier qu’il y a aussi 23 villes françaises jumelées avec des villes d'Ukraine , parmi lesquelles Toulouse, Limoges, Belfort, Sens, Saint-Étienne ou Lille. Au sujet de la Russie en France, vous pourriez être intéressés par Ce site de référencements divers de la russophilie ou présence russe en France . Une fois en contact avec la diaspora russe (ou ukrainienne), vous aurez alors la possibilité aussi d’apprendre beaucoup de choses, notamment grâce aux événements culturels qui ne manqueront pas d’être organisés, concerts, spectacles, soirées cinéma, vous pourriez beaucoup vous enrichir vous-mêmes en vous approchant de la diaspora slave.
Impossible n’est pas français dit le dicton, vous vous attacherez donc à faire honneur à ce dernier et vous retrousserez vos manches ! La langue russe est certes une des plus difficiles parmi les langues européennes, mais rassurez-vous dans le fait que vous n’aurez pas à apprendre la langue française… et sa terrible grammaire ! En russe, ce qui sera compliqué cela sera aussi la grammaire, avant tout et d’abord les déclinaisons, qui au nombre de six, avec une forme irrégulière et régulière des verbes, plus un concept de verbes de mouvements, vous feront particulièrement transpirer. C’est en fait une problématique simple, de la volonté, de la motivation, du travail et une fréquence de travail. Il ne sert à rien en effet de pratiquer le russe à une cadence faible d’une leçon par semaine, si en plus vous ne faites pas les devoirs qui vous sont confiés par votre professeur, ou que vous vous voilez la face derrière vos occupations, votre travail ou d’autres raisons futiles. Mais laissons ici témoigner Hervé de son apprentissage de la langue russe :
« Lorsque j’ai cherché mon épouse à l’Est, j’ai bien vite pris conscience que je devais vite apprendre la langue russe. Quand je dis vite, il faudra comprendre que l’on ne peut apprendre une langue, particulièrement passé 35/40 ans, vite, je voulais parler d’objectif important et de priorité dans votre calendrier. Il y a bien sûr plusieurs stratégies, ou vous comptez sur votre anglais si vous parlez cette langue (ce qui était mon cas), ou vous ne parlez aucune autre langue « utile » (comme l’allemand ou l’espagnol), et vous devriez vite envisager justement le russe. Dans les deux cas de toute façon vous devez l’envisager plus que sérieusement. Au départ, pour vous aider, vous pourrez trouver des guides d’apprentissage basiques, comme ceux de la série Assimil, ce n’est pas grand-chose, mais dans un transport en commun, à un moment perdu, ceci vous aidera à commencer et mettre le pied à l’étrier. Il existe sur ce marché pas mal de différents petits manuels ou livres pour commencer, vous familiariser avec les bases. Contrairement à ce que les Français ou francophones peuvent penser, l’alphabet cyrillique, le premier obstacle n’est rien, une affaire de quelques jours pour l’apprendre, de quelques mois pour être familiariser avec les différentes lettres, il y a en plus que dans l’alphabet latin ! Pour ma part, je m’étais trouvé une professeure de russe originaire de Saint-Pétersbourg, qui me donnait des cours à 10 euros de l’heure, et à raison de deux heures par leçon. Une heure c’est court, 1 h 30 ou 2 heures c’est bien pour avoir le temps de développer, se concentrer, se mettre en selle. Internet sera aussi votre ami, avec des chaînes YouTube, parmi les plus célèbres, Le russe facile avec Diana , sa concurrente la plus cohérente Apprendre le russe avec Ania , mais vous trouverez certainement d’autres sites. Cependant il ne faudra pas croire que ces sites pourront vous aider véritablement, quelques trucs de cultures, de langages, quelques informations, rien ne vaudra un véritable professeur de russe en chair et en os en face de vous. Un des plus gros conseils que je puisse donner, jamais suivi par personne (rires), c’est de commencer à regarder des films en russe sur internet même si vous ne comprenez rien. J’ai commencé sans presque rien comprendre il y a 10 ans, ceci m’a été très utile, j’ai aussi commencé d’écouter avec mon téléphone ou un MP3 de la musique russe, des chansonniers essentiellement, il faut s’imprégner, vous serez surpris de l’extraordinaire richesse du cinéma russe (et soviétique) et de la musique russe (de toute sorte par ailleurs) ».
Bien mieux que des professeurs de russe pour la plupart improvisés du fait de leur expatriation, vous serez avisés de vous déplacer quelques semaines en Russie, en Ukraine voire en Biélorussie pour apprendre le russe en accéléré. De très nombreuses universités dans le monde slave proposent des cours d’été de la langue russe et contrairement à des idées reçues, il ne faut pas d’énormes sommes d’argent pour se lancer dans l’expérience de cours de russe sur place. Il n’y aura jamais meilleure école que des universités slaves, en Russie ou en Ukraine, de la langue russe, car vous aurez en face de vous des professeurs talentueux, diplômés du supérieur dans l’enseignement de la langue russe, ayant défendu des mémoires de l’équivalent d’un Master II, voire même des doctorants ou carrément des personnes ayant soutenu leur thèse. Rassembler ses vacances pour partir quelques semaines, un mois complet pour apprendre la langue russe sera un excellent investissement. Au niveau de l’Ukraine, la facilité de séjour, avec un simple passeport vous permettant de rester trois mois, vous assurera de venir sans problème étudier la langue russe à Kiev, mais les universités russes, dans toutes les grandes villes de Russie s’occupent de vous fournir des invitations pour un visa d’étude adapté, vous assurant un logement d’étudiant, soit en commun, soit individuel selon votre budget à un prix défiant toute concurrence, y compris au niveau de l’enseignement du russe, avec les meilleurs professeurs de russe dans le monde. Nous donnerons l’exemple de l’Institut de la langue russe le plus prestigieux au monde, l’Institut Pouchkine de Moscou, institut d’état de la langue russe. Laissons parler Hervé qui passa en deux périodes pas moins de… 15 mois complet, à 18 heures de russe par semaine :
« Mon cas est un peu particulier, il est rare de rester aussi longtemps sur les bancs de l’Institut Pouchkine, ce fut sans doute l’argent que j’ai le mieux investi dans ma vie ! Vous pouvez vous rendre sur le site de l'Institut Pouchkine , qui vous donnera les informations nécessaires, actuellement le séjour minimum est d’un mois, 18 heures de russe par semaine (24 leçons de 45 minutes), vous penserez que c’est peu, je le pensais en arrivant avec ces 18 heures, sur 4 jours, avec le mercredi sans cours, mais en fait nous étions chargés comme des mules de devoirs à la maison, je passais au moins autant de temps à plancher en dehors des cours. Il y a des dates de commencement des cours en groupe international. Vous êtes avec une dizaine, une douzaine d’étudiants de tous les pays du monde, surtout des Asiatiques, une bonne moitié des apprenants. Pour l’année scolaire 2018-2019, les cours commencent le 3 septembre ou le 4 février pour tous les niveaux, le 1er octobre, 6 novembre, 4 mars et 1er avril pour le niveau A1 et plus. Il y a dans ce système international, le niveau A 0… vous ne savez rien, A 1, puis A 2, débutant et faux débutant, B 1 et B 2, les niveaux confirmés, C 1 vous êtes courant dans la langue, C 2 vous êtes un spécialiste de la langue, professeur, écrivain, académicien ! Les cours de l’institut vont donc de A 0 à B 2, il faut compter une somme actuellement de 25 000 roubles par mois, c’est très peu vu le service d’une qualité exceptionnelle proposé. Si le prix a augmenté (je payais il y a dix ans, 15 000 roubles), le cours du rouble ayant chuté depuis la crise internationale de 2013/2014, c’est en réalité plus intéressant d’y aller maintenant, ce qui vous coûtera en ce jour environ 330 euros (contre 400 en 2008). Mais vous avez aussi la possibilité plus onéreuse des cours d’été, qui se déroulent selon vos objectifs et niveaux durant 4 semaines, avec des groupes de 8 personnes du même niveau pour un prix de 42 000 roubles (environ 560 euros), pour les cours seuls, ensuite il faut se loger, potentiellement dans l’Institut où se trouve une cantine, il s’agit bien sûr d’un service basique. Pour avoir fait donc une année complète de cours, des cours d’été, puis une demi année, je peux vous dire que si j’avais pu je serais resté plus longtemps. Je suis arrivé avec un niveau presque nul, j’en repartais très bien formé, au niveau B 2, mais l’investissement en travail a été énorme. Je conseillerais pour ceux qui viennent un mois de ne pas prendre à la légère ce séjour, d’être concentrés, studieux, vous aurez toujours le samedi et le dimanche pour vous balader et l’institut organise aussi des excursions. En un mois, si vous travaillez bien, vous pourrez déjà avoir des bases A 1, déjà solides et sur place vous pourrez acheter d’excellents manuels russes introuvables en France, qui vous aideront à vous renforcer en russe, depuis quelques années l’Institut Pouchkine a aussi une succursale en France qui se trouve à Paris et propose de nombreuses formules d'apprentissage du russe c’est évidemment bien pratique mais à mon sens, si vous consacrer un mois à l’étude du russe, allez en Russie ! Je conseille par exemple les séjours organisés par le CREF qui organise des cours et des séjours linguistiques en Russie, à Moscou ou à Nijni-Novgorod selon une formule de groupe, cours individuels, ou cours mixtes, l’avantage de cette école c’est qu’elle est dirigée par des Français, vous aurez donc des interlocuteurs de votre langue et ils vous aideront dans toutes les démarches, évidemment en fournissant une invitation, mais aussi pour vous loger et même vos transferts depuis l’aéroport ».
Vous n’avez pas l’envie de vous déplacer, vous ne pouvez pas à cause d’un travail très prenant, vous n’avez pas comme les enseignants 16 semaines de congés payés, ou même une trentaine de jours de RTT dans d’autres professions comme dans l’industrie, vous vivez dans une campagne profonde, ou dans une petite ville et vous n’avez pas à votre portée de professeurs de russe (ou d’ukrainien), alors internet sera votre ami. Chacun connaîtra Skype, ce service gratuit de visio-conférences, mais peut-être que vous devriez vous pencher sur des services moins friables (niveau sécurité et protection de vos données), comme Appear In ou encore Jitsi des moyens plus modernes, sans installation, vous protégeant, instantanés et absolument gratuits. C’est la nouvelle tendance de l’apprentissage à distance. Moins onéreux qu’un voyage, plus pratique par le fait que vous étudierez de chez vous, le cours de russe en ligne pourrait être d’une aide précieuse et votre solution. De nombreuses possibilités sont possibles, en voici une proposée par l'école du CREF à Moscou dont Hervé nous a parlé dans son témoignage. Cette solution a d’immenses avantages mais aussi des désavantages inhérents bien sûr d’abord à votre connexion internet dont il vaut mieux qu’elle soit excellente, des petites difficultés d’un décalage horaire si votre professeur de russe habite dans les régions les plus reculées de Russie (décalage horaire en été pour Moscou d’une heure, de deux en hiver, mais ceci est déjà doublé pour Ekaterinbourg). Dans tous les cas tentez d’éviter les professeurs français, personne ne pourra mieux vous enseigner le russe qu’un professeur de langue maternelle russe, d’Ukraine, de Russie, de Biélorussie voire de Moldavie ou d’un pays balte (à la condition pour ces derniers qu’ils soient de la diaspora russe). Méfiez-vous beaucoup des pièges comme les professeurs d’origines tchétchènes, géorgiennes ou d’autres pays d’Asie Centrale qui firent partie de l’Union soviétique. Désormais en froid ou même carrément hostile à la civilisation russe, vous pourriez vous retrouver pris en otage dans un éternel discours russophobe, mais souvenez-vous aussi que beaucoup de Russes sont des Asiates, originaires de peuples assimilés dans la Russie moderne. D’autres diasporas vous offriront de bons professeurs de russe, et vous trouverez aussi avantage à découvrir des personnes sympathiques et bienveillantes, comme les ressortissants d’Ouzbékistan, du Kazakhstan ou du Turkménistan par exemple. La diaspora russe, et à fortiori ukrainienne ou biélorusse s’est répandue dans le monde il y a déjà très longtemps, vous pourriez découvrir de nombreux professeurs de russe également en France, ou dans votre pays, voici par exemple une professeure qui ne poste pas énormément de vidéos mais est très active dans l’enseignement du russe en ligne : Apprendre le russe à distance en visio-conférence skype , nous vous conseillons aussi par exemple de prendre contact avec des personnes comme l'association des professeurs de français du district de l'Amourskaya , qui saura certainement vous aider à découvrir de bon professeurs dans le monde entier, l’association publiant par ailleurs un journal en ligne Salut ! ça va ! Tentant de faire briller la francophonie dans le monde russe (Université de Blagovechtchensk, dans l’Extrême-Orient russe, confins à la frontière de la Chine).
Si vous n’en avez pas conscience aujourd’hui, vous pourriez bien vite vous rendre compte que l’apprentissage de cette langue, que cela soit d’ailleurs seulement votre deuxième langue, ou la troisième, quatrième… pourrait bien changer votre vie dans bien des domaines. La langue russe est en effet, et nous l’avons déjà fait remarquer, dans le top 10 des langues pratiquées dans le monde (selon les statistiques en 8e ou 9e position), mais aussi également dans le top 10 des langues d’influences. Le russe pourra vous servir en de nombreuses occasions à l’international, langue par ailleurs en constante évolution et gagnant du terrain, par le fait de l’essoufflement d’autres langages ou pour des raisons politiques internationales, comme les partenariats créés par la Russie (BRICS), ou les événements de la géopolitique dans le monde, qui rendent populaire la langue russe et la Russie dans de nombreux pays. Si vous vous rendiez dans un centre russe de l’apprentissage de la langue russe en Russie, ou ailleurs, vous auriez la surprise de voir que les plus gros pays demandeurs de la langue russe viennent d’Asie, de Corée du Sud, du Japon, de Chine, du Vietnam, de Thaïlande, et aussi énormément d’Afrique, en moindre mesure des pays d’Amérique du Sud, essentiellement du Brésil ou de Colombie, etc. Pour des compléments d’informations vous pouvez aussi visiter le site Etudier en Russie, site officiel du Ministère de l'Education et des Sciences de Russie . Vous découvrirez aussi les avantages de l’apprentissage de la langue russe, ou dans des bases simples en regardant le témoignage de Stéphane, ingénieur chef de projet de Toulouse, qui a étudié le russe avant de s’engager dans un voyage de rencontres matrimoniales avec l’Agence CQMI en juin 2018, avec les succès qu’il vous racontera de lui-même !
Vous pouvez toujours envoyer vos questions sur l’apprentissage du russe à Antoine Monnier (antoine@cqmi.ca), qui rappelons le, fondateur de l’agence était parti en Russie étudier le russe… et pas n’importe où… en Sibérie, ou même à Hervé, auteur de l’article dont vous avez aussi ici une petite partie de l’expérience. Pour rencontrer son épouse à l’Est, vous ne trouverez nulle part une quantité de soutiens aussi importante (vidéos, articles, réponses aux courriers, réseaux sociaux), que dans l’Agence CQMI, nos vidéos sont là pour vous montrer que nous sommes des personnes lambdas, à votre service dans l’espoir que vous rencontriez votre double, votre deuxième moitié, la femme extraordinaire qui devrait être à vos côtés !
A étudié à CQPNL Centre québécois de PNL